Ace Out : Ace Out
Teksty
1. DANS LES BRAS DU MONDE
Je pense pour toi,
Pour trois,
Et désire ton choix,
Celui de l'ambiguïté qui nous rapproche,
Et l'on s'accroche,
Nous sommes si proches
Et l'on y pense sans cesse,
Fuyant chacun notre détresse.
Sont-ce ces sons qui sondent mes songes ?
Car la vie en est un.
Mon inconscient éteint m'anime et m'attire,
Attise mon désir,
Me destine à fuir,
Je souffle sur les braises
Que rien ne m'apaise.
Brille, grille !
Face au soleil
Eternelle stèle stellaire
Poussière d'éclair
Nous pousse vers la lumière
Solitaires mais solidaires
Nos âmes se libèrent
Perdus dans les bras du monde
Mais si bien ensemble
On n'est rien sans l'autre
Penchée sur le berceau de la réussite,
Une fée s'agite, en mains étoiles et magie, nettoie les toiles, et toi, tu toises les astres,
Scintillant firmament de nacre.
Sont-ce ces sons qui sondent mes songes ?
Car la vie en est un.
Mon inconscient éteint m'anime et m'attire,
Attise mon désir,
Me destine à fuir,
Je souffle sur les braises
Que rien ne m'apaise.
Brille, grille !
Face au soleil
Eternelle stèle stellaire
Poussière d'éclair
Nous pousse vers la lumière
Solitaires mais solidaires
Nos âmes se libèrent
Perdus dans les bras du monde
Mais si bien ensemble
On n'est rien sans l'autre
Perdus dans les bras du monde mais si bien ensemble, on n'est rien sans l'autre
Doucement bercés par une nuit rêvée
Perdus dans les bras du monde mais si bien ensemble, on n'est rien sans l'autre
Laissons le silence des songes guider nos pas
Perdus dans les bras du monde
Mais si bien ensemble
On n'est rien sans l'autre
2. SI JE TOMBE DE HAUT
Cette fois, c'est un duo mis au sommet du monde qui retombe de très haut
Tombé dans un sommeil de plomb alors jouons, rions.
Comme si tout ça n'était qu'un jeu, avec brio, brillons quand s'invite le duel.
Elle seule m'interpelle, tout s'emmêle quand j'appelle.
C'est un couteau dans le dos
Planté loin dans mon ego
Si froid que j'en tombe de haut
Si je tombe de haut
Déchu pour de bon
Que ma chute soit belle à mourir
Si je tombe de haut
Qui me sauvera ?
Si je tombe de haut
Comme l'obstacle est beau
Je chuterai pour mieux repartir
Si je tombe de haut
Je me sauverai
J'ai chu tel un dieu du haut de son Olympe qui retombe de très haut
Son mal était dual, mais il était dû au duo.
Un duo trahi en un cri
Quasi tué, cloué sur place, même voué à l'échec.
Pas de chance, plus j'avance plus elle danse.
C'est un couteau dans le dos
Planté loin dans mon ego
Si froid que j'en tombe de haut
Si je tombe de haut
Déchu pour de bon
Que ma chute soit belle à mourir
Si je tombe de haut
Qui me sauvera ?
Si je tombe de haut
Comme l'obstacle est beau
Je chuterai pour mieux repartir
Si je tombe de haut
Je me sauverai
Loin devant, j'aperçois l'horizon
Il me guide vers une telle déraison
Posons le pied à terre et célébrons
La mise en bière de notre désunion
Non je n'accepte pas la mise en échec
Ce rire vide nourrit son coeur sec
Je faiblis et croque la pomme de discorde
Si je tombe de haut
Déchu pour de bon
Que ma chute soit belle à mourir
Si je tombe de haut
Qui me sauvera ?
Si je tombe de haut
Comme l'obstacle est beau
Je chuterai pour mieux repartir
Si je tombe de haut
Je me sauverai
3. ILLUSOIRE
J'y pense souvent les nuits où je n'ai pas sommeil.
Chacun panse ses blessures
Comme dans une guerre d'usure, mes nerfs sont à vif
Mais vivre est l'essentiel
Me guide-t-elle, me veille-t-elle ?
Fière de moi ou pas,
Qu'elle soit, qu'elle ne soit pas.
Je n'ai pas de réponse, juste le désir d'y croire
Ton rire reste présent
Je sens ton souffle bienveillant
Même si ce n'est qu'illusoire
Tu brilles en moi je veux y croire
Souvent l'air se fend et je sens que le vent
S'invite à mes tympans et je te vois tant
Même si ce n'est qu'illusoire
Tu brilles en moi je veux y croire
Je fuis juste un moment
Mes histoires sombres et mes tourments
Contemple l'infinie intimité qui nous berce,
Pense aux limbes éternels
S'il y a une suite, où est-elle ?
Me guide-t-elle, me veille-t-elle ?
Fière de moi ou pas,
Qu'elle soit, qu'elle ne soit pas.
Je n'ai pas de réponse, juste le désir d'y croire
Ton rire reste présent
Je sens ton souffle bienveillant
Même si ce n'est qu'illusoire
Tu brilles en moi je veux y croire
Souvent l'air se fend et je sens que le vent
S'invite à mes tympans et je te vois tant
Même si ce n'est qu'illusoire
Tu brilles en moi je veux y croire
Je guette un signe, guette une lueur, le vent se lève quand soudain mon coeur se serre.
Ton rire reste présent
Je sens ton souffle bienveillant
Même si ce n'est qu'illusoire
Tu brilles en moi je veux y croire
Souvent l'air se fend et je sens que le vent
S'invite à mes tympans et je te vois tant
Même si ce n'est qu'illusoire
Tu brilles en moi je veux y croire
4. JE MENS SI BIEN
Oh shit ! Oh shit !
Je ne vais pas en faire un film ;
Mélodrame ou torture de l'âme qui me tire les larmes et me laisse
Oh ! Non, pas une fois encore, comme mort,
Malgré mes efforts louables, certes mais bon
Demeurant seul, au demeurant, en proie au doute,
Je cherche une écoute et me dis
Je démens ce que je suis vraiment
Je mens si bien
Scrute le temps
Mon seul emprisonnement
Tellement que je fuis quand je vois qu'on quitte l'amour
Et pourtant
Oh shit ! Oh shit !
Je ne peux pas aller au-delà de me forces
Donc je bombe le torse, face à cette écorce,
Tu te laisses
Oh ! Non, pas une fois encore, comme mort,
Malgré tes efforts louables, certes mais bon
Demeurant seule, au demeurant, en proie au doute,
Tu herches une écoute et te dis
Je démens ce que je suis vraiment
Je mens si bien
Scrute le temps
Mon seul emprisonnement
Tellement que je fuis quand je vois qu'on quitte l'amour
Et pourtant
Quand tu craques, vides ton sac
Je m'écarte, abats mes dernières cartes
En souriant, je mens si bien
A mes proches, je mens si bien
Insidieux, je mens si bien
A moi-même, je mens si bien
Je démens ce que je suis vraiment
Je mens si bien
Scrute le temps
Mon seul emprisonnement
Tellement que je fuis quand je vois qu'on quitte l'amour
Et pourtant
5. OU QUE J'AILLE
Où que j'aille vaille que vaille
Où que je sois, elle exploite mes failles
Où que j'aille vaille que vaille
Elle remet en question tous mes principes à la con
Donne-moi ce que je cherche
Nichée dans ta toile de « si belle divine »
Seul ton regard me blesse
Comme ma culpabilité assassine
Redonne du sens au réel
Drapée de ton voile aux douces épines
Nos étreintes feintes sont si cruelles
Alors que mes erreurs s'égrènent
J'ai l'âme en peine, toujours à la traîne
Je dois souffrir de n'avoir rien compris
Car si j'ai tant appris, j'en paie toujours le prix
Je subis, je sais que ma peur est mon pire ennemi
Elle m'a tellement fait attendre
Où que j'aille vaille que vaille
Où que je sois, elle exploite mes failles
Où que j'aille vaille que vaille
Elle remet en question tous mes principes à la con
L'été et son ivresse
Brûlent la peau et me blessent dans mon ego
On oublie la tendresse
Devant le manque, on devient tous égaux
Y a toujours ceux que l'on délaisse
L'esprit corrompu par un rêve d'ado
J'embrasserai mon désir s'il s'affaisse
Alors que mes erreurs s'égrènent
J'ai l'âme en peine, toujours à la traîne
Je dois souffrir de n'avoir rien compris
Car si j'ai tant appris, j'en paie toujours le prix
Je subis, je sais que ma peur est mon pire ennemi
Elle m'a tellement fait attendre
Où que j'aille vaille que vaille
Où que je sois, elle exploite mes failles
Où que j'aille vaille que vaille
Elle remet en question tous mes principes à la con
Je pense pour toi,
Pour trois,
Et désire ton choix,
Celui de l'ambiguïté qui nous rapproche,
Et l'on s'accroche,
Nous sommes si proches
Et l'on y pense sans cesse,
Fuyant chacun notre détresse.
Sont-ce ces sons qui sondent mes songes ?
Car la vie en est un.
Mon inconscient éteint m'anime et m'attire,
Attise mon désir,
Me destine à fuir,
Je souffle sur les braises
Que rien ne m'apaise.
Brille, grille !
Face au soleil
Eternelle stèle stellaire
Poussière d'éclair
Nous pousse vers la lumière
Solitaires mais solidaires
Nos âmes se libèrent
Perdus dans les bras du monde
Mais si bien ensemble
On n'est rien sans l'autre
Penchée sur le berceau de la réussite,
Une fée s'agite, en mains étoiles et magie, nettoie les toiles, et toi, tu toises les astres,
Scintillant firmament de nacre.
Sont-ce ces sons qui sondent mes songes ?
Car la vie en est un.
Mon inconscient éteint m'anime et m'attire,
Attise mon désir,
Me destine à fuir,
Je souffle sur les braises
Que rien ne m'apaise.
Brille, grille !
Face au soleil
Eternelle stèle stellaire
Poussière d'éclair
Nous pousse vers la lumière
Solitaires mais solidaires
Nos âmes se libèrent
Perdus dans les bras du monde
Mais si bien ensemble
On n'est rien sans l'autre
Perdus dans les bras du monde mais si bien ensemble, on n'est rien sans l'autre
Doucement bercés par une nuit rêvée
Perdus dans les bras du monde mais si bien ensemble, on n'est rien sans l'autre
Laissons le silence des songes guider nos pas
Perdus dans les bras du monde
Mais si bien ensemble
On n'est rien sans l'autre
2. SI JE TOMBE DE HAUT
Cette fois, c'est un duo mis au sommet du monde qui retombe de très haut
Tombé dans un sommeil de plomb alors jouons, rions.
Comme si tout ça n'était qu'un jeu, avec brio, brillons quand s'invite le duel.
Elle seule m'interpelle, tout s'emmêle quand j'appelle.
C'est un couteau dans le dos
Planté loin dans mon ego
Si froid que j'en tombe de haut
Si je tombe de haut
Déchu pour de bon
Que ma chute soit belle à mourir
Si je tombe de haut
Qui me sauvera ?
Si je tombe de haut
Comme l'obstacle est beau
Je chuterai pour mieux repartir
Si je tombe de haut
Je me sauverai
J'ai chu tel un dieu du haut de son Olympe qui retombe de très haut
Son mal était dual, mais il était dû au duo.
Un duo trahi en un cri
Quasi tué, cloué sur place, même voué à l'échec.
Pas de chance, plus j'avance plus elle danse.
C'est un couteau dans le dos
Planté loin dans mon ego
Si froid que j'en tombe de haut
Si je tombe de haut
Déchu pour de bon
Que ma chute soit belle à mourir
Si je tombe de haut
Qui me sauvera ?
Si je tombe de haut
Comme l'obstacle est beau
Je chuterai pour mieux repartir
Si je tombe de haut
Je me sauverai
Loin devant, j'aperçois l'horizon
Il me guide vers une telle déraison
Posons le pied à terre et célébrons
La mise en bière de notre désunion
Non je n'accepte pas la mise en échec
Ce rire vide nourrit son coeur sec
Je faiblis et croque la pomme de discorde
Si je tombe de haut
Déchu pour de bon
Que ma chute soit belle à mourir
Si je tombe de haut
Qui me sauvera ?
Si je tombe de haut
Comme l'obstacle est beau
Je chuterai pour mieux repartir
Si je tombe de haut
Je me sauverai
3. ILLUSOIRE
J'y pense souvent les nuits où je n'ai pas sommeil.
Chacun panse ses blessures
Comme dans une guerre d'usure, mes nerfs sont à vif
Mais vivre est l'essentiel
Me guide-t-elle, me veille-t-elle ?
Fière de moi ou pas,
Qu'elle soit, qu'elle ne soit pas.
Je n'ai pas de réponse, juste le désir d'y croire
Ton rire reste présent
Je sens ton souffle bienveillant
Même si ce n'est qu'illusoire
Tu brilles en moi je veux y croire
Souvent l'air se fend et je sens que le vent
S'invite à mes tympans et je te vois tant
Même si ce n'est qu'illusoire
Tu brilles en moi je veux y croire
Je fuis juste un moment
Mes histoires sombres et mes tourments
Contemple l'infinie intimité qui nous berce,
Pense aux limbes éternels
S'il y a une suite, où est-elle ?
Me guide-t-elle, me veille-t-elle ?
Fière de moi ou pas,
Qu'elle soit, qu'elle ne soit pas.
Je n'ai pas de réponse, juste le désir d'y croire
Ton rire reste présent
Je sens ton souffle bienveillant
Même si ce n'est qu'illusoire
Tu brilles en moi je veux y croire
Souvent l'air se fend et je sens que le vent
S'invite à mes tympans et je te vois tant
Même si ce n'est qu'illusoire
Tu brilles en moi je veux y croire
Je guette un signe, guette une lueur, le vent se lève quand soudain mon coeur se serre.
Ton rire reste présent
Je sens ton souffle bienveillant
Même si ce n'est qu'illusoire
Tu brilles en moi je veux y croire
Souvent l'air se fend et je sens que le vent
S'invite à mes tympans et je te vois tant
Même si ce n'est qu'illusoire
Tu brilles en moi je veux y croire
4. JE MENS SI BIEN
Oh shit ! Oh shit !
Je ne vais pas en faire un film ;
Mélodrame ou torture de l'âme qui me tire les larmes et me laisse
Oh ! Non, pas une fois encore, comme mort,
Malgré mes efforts louables, certes mais bon
Demeurant seul, au demeurant, en proie au doute,
Je cherche une écoute et me dis
Je démens ce que je suis vraiment
Je mens si bien
Scrute le temps
Mon seul emprisonnement
Tellement que je fuis quand je vois qu'on quitte l'amour
Et pourtant
Oh shit ! Oh shit !
Je ne peux pas aller au-delà de me forces
Donc je bombe le torse, face à cette écorce,
Tu te laisses
Oh ! Non, pas une fois encore, comme mort,
Malgré tes efforts louables, certes mais bon
Demeurant seule, au demeurant, en proie au doute,
Tu herches une écoute et te dis
Je démens ce que je suis vraiment
Je mens si bien
Scrute le temps
Mon seul emprisonnement
Tellement que je fuis quand je vois qu'on quitte l'amour
Et pourtant
Quand tu craques, vides ton sac
Je m'écarte, abats mes dernières cartes
En souriant, je mens si bien
A mes proches, je mens si bien
Insidieux, je mens si bien
A moi-même, je mens si bien
Je démens ce que je suis vraiment
Je mens si bien
Scrute le temps
Mon seul emprisonnement
Tellement que je fuis quand je vois qu'on quitte l'amour
Et pourtant
5. OU QUE J'AILLE
Où que j'aille vaille que vaille
Où que je sois, elle exploite mes failles
Où que j'aille vaille que vaille
Elle remet en question tous mes principes à la con
Donne-moi ce que je cherche
Nichée dans ta toile de « si belle divine »
Seul ton regard me blesse
Comme ma culpabilité assassine
Redonne du sens au réel
Drapée de ton voile aux douces épines
Nos étreintes feintes sont si cruelles
Alors que mes erreurs s'égrènent
J'ai l'âme en peine, toujours à la traîne
Je dois souffrir de n'avoir rien compris
Car si j'ai tant appris, j'en paie toujours le prix
Je subis, je sais que ma peur est mon pire ennemi
Elle m'a tellement fait attendre
Où que j'aille vaille que vaille
Où que je sois, elle exploite mes failles
Où que j'aille vaille que vaille
Elle remet en question tous mes principes à la con
L'été et son ivresse
Brûlent la peau et me blessent dans mon ego
On oublie la tendresse
Devant le manque, on devient tous égaux
Y a toujours ceux que l'on délaisse
L'esprit corrompu par un rêve d'ado
J'embrasserai mon désir s'il s'affaisse
Alors que mes erreurs s'égrènent
J'ai l'âme en peine, toujours à la traîne
Je dois souffrir de n'avoir rien compris
Car si j'ai tant appris, j'en paie toujours le prix
Je subis, je sais que ma peur est mon pire ennemi
Elle m'a tellement fait attendre
Où que j'aille vaille que vaille
Où que je sois, elle exploite mes failles
Où que j'aille vaille que vaille
Elle remet en question tous mes principes à la con
teksty dodane przez Taaank - Edytuj teksty