Shearwater, Animal Joy (2012)
Ben, en fait, plus je l'écoute plus je l'apprécie, malgré quelques passages un peu faiblards et moins convainquants, l'ensemble s'assimile plutôt bien. Moins lyrique qu'avant, mais quitter l'azur pour la vie sauvage sur la terre ferme leur réussit plutôt bien finalement.
Star of the Age
Pas forcément le titre le plus représentatif, mais c'est un de ceux que je préfère
In girum imus nocte et consumimur igni