1.In my Dream

Sun has left my home the rain has begin to fall
I am asleep,
On a burning cloud,
Rats are running all around,
It's my dream,
In my dream I am flying
The rats are biting me
In my dream I am dying
Why don't you hear me?
I am swiming in my tears,
I see all my life before,
It was quiet, it was empty,
Of happiness and love,
Of your delicate presence,
Now I see pearls of sadness,
Crossing my skin ,
Like knives they kill me.
Screaming is not enough
silence has captured me now
My body doesn 't move anymore
I want to wake up but I can't
Now I see pearls of sadness,
Crossing my skin ,
Like knives they kill me
Don't you know how I feel?
Loosing control of my mind and my body,
Like sometimes in reality.
I try to save myself but I see that I never will,
My spirit suffers even if I know that it's a dream,
In my dream I am flying
The rats are biting me
In my dream I am dying
Why don't you hear me?

2.Poussière de vie

Le vent souffle, ton corps tremble, comme transpercé par le froid,
Dans ton regard chaud et doux, ta vie défile tout bas,
Quel est ce mal qui te ronge ? Qui te détruit pas à pas,
Rongeant vilement le reste de ta force, n'abandonne pas.
Je t'ai vu dans ton abyme chercher le temps, chercher l'issue,
Tu attends là croyant savoir, plongeant encore plus bas,
Quel est ce mal qui te ronge ? Qui te détruit malgré toi,
Tu te laisses envahir par ce poison tu ne te bats pas !
Cherchant la délivrance, j'ai trouvé la douleur
Je voulais simplement détruire ma peur,
Je ne peux plus combattre, me restant les larmes,
Pour seul accompagnateur..
Où est cette voix qui me guidait quand j'avais peur,
Dans mon enfance je puise mes derniers moments de bonheur,
Tu me tues, tu me suis,je te fuis, tu me nuis.
Chaque jour tu crois t'enfuir de ce que tu aimes parfois,
Ce plaisir destructeur qui te protèges, tu crois ?
Derrière ce masque éphémère que tu te construits avec ça,
Tu es encore plus fragile que tu crois,
Laisse la paix reprendre ton âme,
Tu abîmes la vie qui coule dans ta peau,
Envole- toi vers d'autres cieux,
Le mal qui t'abîme est ton obsession.
Je rassemble mes poussières de vie.

3.Paperdoll

Behind your pretty steel glance,
And this splendid fairness ,
This body with perfect measurments,
So empty of happiness ,
We believe we see unical being who cross the time infinately,
Offering its beauty to eyes gorged with desire,
we are obssessed ,
But you're only a paperdoll,
Reality did not accept you,
You are only a paperdoll,
Fashion has manufactured you.
You're the dream of this searching glory youth,
Following standards dictated high here,
Suffering and with pain we try to, unreal and false you appear me,
But you like this image that's imposed to you, you distort the image of feminity, and you continue your lie in spite of the lives,
You break, on your way
You want to fly,
But you are, taken, broken,
You want to fly,
But you are, in your guilded cage.

4.Pardonne-moi

J'ai cherché tout autour de moi ta présence inespérée,
Mais pour seul indice je n'ai trouvé qu'une photo abîmée,
Je ne te connais presque pas mais ta vie coule au fond de moi,
J'ai essayé d'oublier en vain le vide de ces années passées,
Que ton absence a creusé ;
Crois-tu qu'elles seront comblées ?
J'ai vécu longtemps dans l'inconscience de la douleur,
Mais elle pourrissait pourtant sournoisement dans mon coeur,
Pour se réveiller aujourd'hui quand l'enfant a grandi,
Et pour me hanter, me torturer encore, encore la nuit
Suis-je une étrangère pour toi ?
Qu'est ce qui ne va pas en moi ?
Aime-moi !
Pardonne-moi !
Pourquoi m'as-tu abandonnée,
Pardonne-moi !
Tu as préféré oublier,
Ton enfant, même ton sang,
Tu l'a laissé couler, sans même le protéger,
Mais malgré ça je reste à toi,
Et je continue mon chemin, malgré le manque, malgré l'absence,
En étouffant le vide par l'oubli, par l'ignorance,
Pourtant dis-moi comment peut-on oublier une partie de soi ?
Dans tout ce que je fais je te retrouve encore, toi, papa.
Suis-je une étrangère pour toi ?
Est-ce vraiment ça l'amour pour toi?
Papa.
J'ai si mal, entends-moi, sens mon âme se perdre sans toi,
Où est-tu ? Je me noie,
Dans l'abyme ou tu m'envoie
Pardonne-moi !
Pourquoi m'as-tu abandonnée,
Pardonne-moi !
Pardonne-moi !